A test of the predator avoidance hypothesis to explain delayed onset of communal breeding.
In: Canadian Journal of Zoology, Jg. 97 (2019-04-01), Heft 4, S. 332-339
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A neglected question in the study of communal breeding concerns why alloparental behaviour begins at variously late stages in the breeding cycle. In group-living corvids, the delay tends to be longer in species that are small and (or) typically have only a small nonbreeder complement. This pattern has been attributed to the relatively poor defensive capabilities of such species and their consequently greater need to minimize predator-attracting traffic to the nest or fledglings. We tested this predator avoidance hypothesis with the Canada Jay (Perisoreus canadensis (Linnaeus, 1766)), a species in which the feeding of young by any nonbreeders in the family group is delayed until the fledgling period. We reasoned that, on Anticosti Island, Quebec (Canada), in the absence of squirrels and other nest predators, nonbreeders might be permitted to feed nestlings as well as fledglings, and that breeders might feed nestlings more frequently (with smaller food loads) than on the mainland. We found no evidence for either prediction and thus no support for the predator avoidance hypothesis but suggest that Anticosti Canada Jays may have had insufficient time to evolve behaviour more appropriate for their predator-free environment. Secondarily, we confirmed that in all observed instances, the nonbreeders were offspring of the breeding pair from previous years and that they therefore failed to provision nestlings in spite of an apparent genetic interest to do so. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
Une question trop peu abordée dans l'étude de la reproduction communautaire consiste à savoir pourquoi le comportement alloparental commence à différents moments tard durant le cycle de reproduction. Chez les corvidés vivant en groupe, ce délai tend à être plus long chez les espèces petites ou qui ne comptent typiquement qu'un petit nombre d'individus non reproducteurs. Cela a été attribué aux capacités de défense relativement faibles de ces espèces et, donc, à la nécessité plus grande pour elles de minimiser le trafic pouvant attirer les prédateurs vers le nid ou les jeunes à l'envol. Nous avons testé cette hypothèse d'évitement des prédateurs chez le mésangeai du Canada (Perisoreus canadensis (Linnaeus, 1766)), une espèce dont l'alimentation des jeunes par tout individu non reproducteur dans le groupe familial est retardée jusqu'à la période suivant l'envol du nid. Nous avons postulé que, dans l'île d'Anticosti (Québec, Canada), en l'absence d'écureuils et d'autres prédateurs des nids, il pourrait être permis aux individus non reproducteurs de nourrir les oiseaux niais ainsi que les jeunes après l'envol, et que les individus reproducteurs pourraient nourrir les oiseaux niais plus fréquemment (avec de plus petites charges de nourriture) que sur le continent. Nous n'avons trouvé aucune preuve de l'une ou l'autre de ces prédictions et, donc, aucune preuve appuyant l'hypothèse d'évitement des prédateurs, mais nous suggérons que les mésangeais du Canada d'Anticosti pourraient ne pas avoir eu le temps de développer un comportement mieux adapté à un milieu exempt de prédateurs. En second lieu, nous avons confirmé que, dans tous les cas observés, les individus non reproducteurs étaient des rejetons d'années antérieures du couple reproducteur et qu'ils n'étaient donc pas arrivés à approvisionner des oiseaux niais malgré un apparent intérêt génétique. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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Titel: |
A test of the predator avoidance hypothesis to explain delayed onset of communal breeding.
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Autor/in / Beteiligte Person: | Strickland, D. ; Brouwer, E. ; Burg, T.M. |
Zeitschrift: | Canadian Journal of Zoology, Jg. 97 (2019-04-01), Heft 4, S. 332-339 |
Veröffentlichung: | 2019 |
Medientyp: | academicJournal |
ISSN: | 0008-4301 (print) |
DOI: | 10.1139/cjz-2018-0114 |
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