The independent and combined effects of exercise training and reducing sedentary behavior on cardiometabolic risk factors.
In: Applied Physiology, Nutrition & Metabolism, Jg. 39 (2014-07-01), Heft 7, S. 770-780
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This pilot study examined if the combination of exercise training and reducing sedentary time (ST) results in greater changes to health markers than either intervention alone. Fifty-seven overweight/obese participants (19 males/39 females) (mean ± SD; age, 43.6 ± 9.9 years; body mass index (BMI), 35.1 ± 4.6 kg·m -2 ) completed the 12-week study and were randomly assigned to ( i) EX: exercise 5 days·week -1 for 40 min·session -1 at moderate intensity; ( ii) rST: reduce ST and increase nonexercise physical activity; ( iii) EX-rST: combination of EX and rST; and ( iv) CON: maintain behavior. Fasting lipids, blood pressure (BP), peak oxygen uptake, BMI, and 2-h oral glucose tolerance tests were completed pre- and post-intervention. EX and EX-rST increased peak oxygen uptake by ∼10% and decreased systolic BP (both p < 0.001). BMI decreased by -3.3% (95% confidence interval: -4.6% to -1.9%) for EX-rST and -2.2% (-3.5% to 0.0%) for EX. EX-rST significantly increased composite insulin-sensitivity index by 17.8% (2.8% to 32.8%) and decreased insulin area under the curve by 19.4% (-31.4% to -7.3%). No other groups improved in insulin action variables. rST group decreased ST by 7% (∼50 min·day -1 ); however, BP was the only health-related outcome that improved. EX and EX-rST improved peak oxygen uptake and BMI, providing further evidence that moderate-intensity exercise is beneficial. The within-group analysis provides preliminary evidence that exercising and reducing ST may result in improvements in metabolic biomarkers that are not seen with exercise alone, though between-group differences did not reach statistical significance. Future studies, with larger samples, should examine health-related outcomes resulting from greater reductions in ST over longer intervention periods. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
Cette étude pilote vérifie si la combinaison de l'entraînement physique et de la diminution du temps de sédentarité (« ST ») suscite plus de modifications chez les marqueurs de la santé que l'une ou l'autre des interventions isolées. Cinquante-sept sujets obèses ou présentant du surpoids (19 hommes, 39 femmes) (moyenne ± é.-t. : âge, 43,6 ± 9,9 ans, indice de masse corporelle (IMC), 35,1 ± 4,6 kg·m -2 ) participent à une étude durant 12 semaines et sont répartis aléatoirement dans l'un des quatre groupes suivants: ( i) « EX », exercice physique d'intensité modérée à raison de 40 min par séance, 5 jours par semaine; ( ii) « rST », diminution du ST et augmentation de l'activité physique sans exercices; ( iii) « EX-rST », combinaison d'EX et de rST; et ( iv) « CON », maintien du comportement. Avant et après les interventions, on évalue les lipides sanguins à jeun, la pression sanguine (BP), de la consommation d'oxygène de pointe, l'IMC et l'épreuve d'hyperglycémie provoquée par voie orale d'une durée de 2 h. Dans les groupes EX et EX-rST, on observe une augmentation de la consommation d'oxygène de pointe de ∼10 % et une diminution de la BP ( p < 0,001 pour les deux). L'IMC du groupe EX-rST diminue de 3,3 % (intervalle de confiance 95 % : de -4,6 à -1,9 %) et de 2,2 % (de -3,5 % à 0,0 %) dans le groupe EX. Dans le groupe EX-rST, on observe une augmentation significative du « composite insulin-sensitivity index » de 17,8 % (de 2,8 à 32,8 %) et une diminution de 19,4 % (de -31,4 à -7,3 %) de la surface de l'insuline sous la courbe. Les autres groupes ne présentent pas d'amélioration sur le plan de l'action de l'insuline. Dans le groupe rST, le ST diminue de 7 % (∼50 min·jour -1 ), mais seule la BP, variable associée à la santé, s'améliore. Les groupes EX et EX-rST présentent une amélioration de la consommation d'oxygène de pointe et de l'IMC, encore une autre démonstration en faveur des effets bénéfiques de l'exercice physique d'intensité modérée. L'analyse intragroupe fournit des observations préliminaires selon lesquelles la pratique d'exercice physique et la diminution du ST suscitent des améliorations au niveau des biomarqueurs métaboliques qu'on n'observe pas lors de la seule pratique d'exercice physique, et ce, nonobstant le fait que les différences entre les groupes n'atteignent pas le niveau de signification statistique. Il faut réaliser d'autres études sur des échantillons plus grands pour analyser les résultats en matière de santé issus d'une plus grande diminution du ST et sur une plus longue période. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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Titel: |
The independent and combined effects of exercise training and reducing sedentary behavior on cardiometabolic risk factors.
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Autor/in / Beteiligte Person: | Kozey Keadle, Sarah ; Lyden, Kate ; Staudenmayer, John ; Hickey, Amanda ; Viskochil, Richard ; Braun, Barry ; Freedson, Patty S. |
Zeitschrift: | Applied Physiology, Nutrition & Metabolism, Jg. 39 (2014-07-01), Heft 7, S. 770-780 |
Veröffentlichung: | 2014 |
Medientyp: | academicJournal |
ISSN: | 1715-5312 (print) |
DOI: | 10.1139/apnm-2013-0379 |
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